Quel genre d'élève êtes-vous?
Je suis le genre à étudier ce que l'on veut pour moi au lieu d'écouter mes propres désirs. En apparences seulement. Déjà, pour ennuyer mon père je me suis plutôt tourner vers la médecine générale que la chirurgie. La médecine étant un cursus déjà bien compliqué, en choisissant cette autre spécialité, je me dispensais de plusieurs heures de tourmente face à un programme lourd en vocabulaire incompréhensible...ou presque. J'en ai une bonne pelle depuis que je suis ici. Ce qui me sauve, ce sont mes facilités. Je n'ai pas besoin de beaucoup étudier pour avoir la moyenne ou un peu plus. Cela me permet de ne pas stresser à cause des examens car je sais qu'à tous les coups, j'en sortirai indemne. D'ailleurs, quand mon père a apprit que je ne suivais pas son parcours il a tout simplement décidé d'arrêter de payer mes études. Les nuits blanches, je connais pas - ou enfin si mais elles sont plutôt provoquées par mes nuits à festoyer. Quand c'est pas le stress qui m'en offre. C'est un peu la galère je dois l'avouer : le fait d'avoir un emprunt sur le dos n'est pas amusant - mais heureusement qu'il y a le baseball et le surf, ça me fait décompresser. Je suis largement plus sportif que scientifique. Je pourrais passer des heures entières sur les vagues ou à être auprès de mes coéquipiers sur un terrain. Désolé de ne pas être à ton image, père !

Que font vos parents?
Mon père Williams Chace est donc un chirurgien esthétique dont la renommée est bien importante. J'vous en passe des détails : ces soirées à faire le beau fils qui est fier de son père, qui le prend surtout comme modèle face à ces autres personnes bourrées de fric, à ne pas savoir quoi en faire. En vérité, le monde dans lequel je vis me dégoute un peu, bien que j'admets en profiter. Mais pas à outrance vous voyez ? Cela fait déjà un bon bout de temps que je ne pompe plus l'argent du père, j'ai apprit à me débrouiller financièrement tout seul. Heureusement, il y a ma mère, c'est une femme plus douce et plus aimante. Je décrocherai la lune pour elle. C'est la seule femme que j'aime le plus au monde. Cela fait presque trente-deux ans que ma mère s'est mariée, quittant sa France natale pour la Californie. Elle est vraiment plus modeste et passe son temps à aider les gens dans le besoin. A sa tête, trois associations à côté de son travail de styliste.

Pouvez-vous nous dire quelque chose sur votre famille?
Un père, une mère, un petit frère - le format d'une famille plus ou moins banale. Si on ne compte pas le fric que contiennent nos comptes en banque respectifs. Il n'y a rien d'extraordinaire à dire sur nous à part qu'avec mon frère on est largement plus proche de notre mère que notre père. Peut être bien parce qu'il pose sur nous une pression qui emmerde depuis l'enfance. Lui, il est parti sur les routes rêvant de voyage sans même avoir la majorité. Ma mère souffre pas mal de son absence mais ses cartes postales lui soulage le coeur. Quant à moi je suis pas non plus en totale harmonie avec la paternel - loin de là. J'emmerde ses ordres à ma sauce. On a toujours été un peu rebelles.

Racontez-nous une anecdote de votre vie.
Je remonterai à mes dix ans, quand je suis allé acheté ma première planche de surf et que j'ai assisté à mon premier cours. La mer était folle ce jour là, propice à d'excellant moment. Je savais bien que cela allait me demander du temps pour pouvoir être bon mais je ne craignais pas le travail, je me suis toujours donné à fond dans ce que j'entreprenais. Le surf étant une passion inavouée jusqu'à ce jour, j'avais décidé de franchir le cas, d'oser, espérer davantage, qu'un jour j'arriverai à faire comme les grands que j'admirer. Je voulais pas seulement flirter avec la mer, non. Je voulais me sentir un peu plus libre encore, étant un gosse à la recherche de nouvelles sensations, de moyens pour rendre dingue un père qui n'a jamais été d'accord avec moi. C'était pour lui prouver que je n'étais pas le genre d'enfant à suivre à la lettre des ordres. Très peu pour moi. Rebelle dès l'âge où j'ai compris que mon père voulait nous conduire vers la route que lui avec mon frère, j'ai appris à aller à son encontre. Commencer le surf, persévérez était un moyen de lui échapper.

Parlez-nous de vos inspirations et de vos ambitions? Pour quoi vous levez-vous chaque matin? Qui désirez-vous devenir ? Je me lève sûrement pas pour aller en cours. Alors certes, je ne suis pas le genre d'étudiant à sécher mes heures mais je prends largement plus de plaisir en dehors des salles de classe. L'endroit où je me sens utile et réellement à ma place c'est sur le terrain de baseball, quand je joue, que je cours après avoir lancé la balle d'un sacré coup de batte. Je me sens vivant quand je suis sur les vagues aussi. C'est mon deuxième passe temps favori et cela depuis des années déjà. Le sport est l'une des motivations qui me pousse hors de mon lit. J'aimerai percer dans le monde du sport, mon entraineur dit bien que j'ai énormément de potentiel. Alors je me donne toujours plus, davantage de mon énergie à chacun des matchs officiels ou qu'il s'agit de simples entraînement. C'est certain, je m'épanoui plus quand je suis dehors que devant des bouquins parlant de sciences et autres conneries du même genre.

Vous avez sûrement entendu parler de Virtus Vincit. Qu'en pensez-vous? Et jusqu'à où êtes-vous prêt à aller ?
Ca fait la sixième année que je suis là et je suis véritablement prêt à accepter les défis, comme toujours. La vie étudiante c'est aussi ça, savoir s'amuser, en dépit des conséquences que cela peut entraîner. J'aime jouer, prendre des risques - VV ne va une nouvelle fois pas être déçu de moi.

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HORS JEU ~ INFORMATIONS
prénom pauline pseudo adoko pays france où avez-vous connu le forum? source isa présence tous les jours suggestions ou commentaires le concept est vraiment cool hein, comme je disais à isa. j'ai hâte de voir ce que ça donne en rp. type de personnage inventé avatar dylan rieder groupe niveau 0

 LUNDI c'est reparti pour une semaine, la dernière avant la rentrée à l'université. ô quelle déprime. tu t'es levé avant le lever du soleil. rendez-vous sur la plage, dans l'eau plus exactement - à sentir les vagues faire valser ta planche et toi, avec ton regard émerveillé, tu redécouvres encore le monde qui s'éveille, cette belle terre - sous des couleurs chatoyantes. ce n'est jamais le même tableau qui se traine ici à l'aube et c'est bien pour ça que tu ne t'en lasse point. tu traines en ville toute la journée, te payes le plaisir d'un hotdog après avoir surfer toute la matinée et puis d'une glace en dessert avant d'aller voir tes coéquipiers pour parler baseball avant la reprise. sur les coups des trois heures, vous jouez alors un match ayant en tête vos performances. il est presque onze heures du soir quand tu rentres enfin à la demeure familiale. tu croises ta mère qui vient t'embrasser pour te souhaiter une bonne nuit avant de passer une main dans tes cheveux. MARDI c'est la lumière du soleil qui vient te réveiller ce matin et puis la voix de marisol qui souhaite un bon réveil. elle t'annonce que votre père sera là pour midi à la maison. tu te redresses et la regarde, les yeux encore lourds pour demander l'heure. onze heures. ça me laissait largement le temps de te préparer. quand elle sort de la chambre, tu te laisses retomber sur le lit et en ressort que cinq minutes après. il est midi trente et ton père n'est toujours pas là. dans la salle à manger, vous attendez avec ta mère et ton frère. tu ne retiens plus ton soupir et ta mère te regarde. sans trop de poésie, tu expliques que tu en as assez et nahele surenchérit. après un long moment à attendre, tu as assez, tu quittes la table et remercie marisol pour se qu'elle s'est donné du mal à préparer pour vous. elle te sourit. tu redescends de ta chambre avec une tenue plus décontractée et invite ton frère à venir avec toi à la plage pour aller surfer étant donné que les vagues sont annoncées très bonnes. le soir venu, il y a une soirée étudiante. vers les quatre heures du matin, tu ramènes une cheerleaders à sa résidence. elle t'invite dans sa chambre, stipulant qu'elle s'endormira pas tout de suite. tu l'accompagnes alors et termines la nuit avec elle, ne résistant pas longtemps à ses avances MERCREDI c'est entrainement. tu passes toute la journée avec ton équipe, à squatter le terrain de baseball. tu rentres que très tard le soir et te couches sans plus tarder après une douche bien chaude. JEUDI encore une soirée étudiante, tu n'as pas spécialement fait grand chose dans la journée à part préparer ton retour à l'appartement, pour anticiper la rentrée. tu profites pleinement de la bonne musique, des jolies filles, en charme quelques unes avec ton sourire puis en invite deux à venir te voir au premier match de la saison. VENDREDI tu n'as spécialement hâte de retourner à la l'université mais tu t'excuses auprès de ta mère pour ton départ anticipé. nahele va en faire autant - plus vous passez de temps loin de votre père, davantage vous vous portez bien. cet après-midi tu as rendez-vous avec ton banquier, pour parler de ton emprunt. c'est sans enthousiasme que tu te rends là-bas à l'heure précise et tu en ressors pas de si bonne humeur. tu repasses à la maison familiale pour embrasser ta mère avant ton départ et avec avec ton frère, vous embarquez dans vos caisses pour partir. SAMEDI grasse matinée, tu passes la journée à ranger ton appartement et à faire les courses avant de t'étaler devant la télévision le soir venu avec une pizza commandée. DIMANCHE au lieu de te coucher tôt pour le lendemain de la rentrée, tu rejoins tes coéquipiers de baseball pour passer une bonne partie de la soirée ensemble.