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| Neal Delage STANFORD UNIVERSITY MEMBERPseudo : Vagabonde. Messages : 37 Avatar : Clement Chabernaud le plus beau © crédits : Nazack
| Sujet: AUX ENFANTS BROUILLONS Mer 21 Mai - 9:49 | | NEAL DELAGE Il y a des gens avec qui l’on passe une grande partie de sa vie et qui ne vous apportent rien. Qui ne vous éclairent pas, ne vous nourrissent pas, ne vous donnent pas d’élan. Encore heureux quand ils ne vous détruisent pas à petit feu en se suspendant à vos basques et en vous suçant le sang. Et puis, il y a ceux que l’on croise, que l’on connait à peine, qui vous disent un mot, une phrase, vous accordent une minute, une demi-heure et changent le cours de votre vie. Vous n’attendiez rien d’eux, vous les connaissiez à peine, vous vous êtes rendu léger, légère, au rendez-vous et découvrez qu’ils ont ouvert une porte en vous, déclenché un parachute, initié ce merveilleux mouvement qu’est le désir, mouvement qui va vous emporter bien au-delà de vous-même et vous étonner. | Prénoms Neal aux dérisions de la vie, il déploie ses ailes comme ce personnage de la génération beat, hippie, prenant modèle pour ses comparses. Neal doux au palais qu'il fait résonner pour le plaisir de ses favorites. Nom Delage français de pieds noirs d'Algérie en Amérique il a écumé les flots à l'age d'or où son père navigateur infortuné l'emmenait comme albatros des marées. Âge Personne ne s'en doute se fiant à l'apparence tranquille du jeune homme, de ses études brisé, de son tempérament de feu la jeunesse volée. Il est jeune, il est vieux, l'immortalité dans ses lignes d'encre de chine. Date de naissance Là non plus il évite de donner trop de détail futiles s'intéressant surtout à la chair de ce qui se fait d'homme. Lieu de naissance La légende raconte que ce petit garçon est né dans les froids pôles de l'hiver lors d'un voyage au Nord du globe Terre, des coups de pieds à la perte des eaux dans un hôtel vengeur c'est sur les montagnes qu'il a voulu voir le jour. Origines Du sang chaud dans ses veines, des nuances de l'été chatoyant sur sa langue flocon des fiancés, il parle suédois, espagnol, français, russe, un brin d'allemand et l'anglais son navire déchirant. Il se la joue comme Kerouac sur la route toujours fier pimpant. Nationalité La double pour plus de chance dans sa vie, ainsi l'Amérique sur son passeport rabattu dans une des poches perdues d'un de ses blu-jean usé, la Française sa culture, ses vergers, ses vacances passées à l’affût entre les pins, les sapins, la mer dans sa villa méditerranéenne. Années d'étudesen première année de Bachelor il reprend petit à petit, s'adapte aux cahier propre immaculé qu'il sera obligé de remplir de strate par les cours magistraux. Non enchanté par ce périple c'est par défi cependant pour enfin grandir dans le vent de l'enfance, mettant les deux pieds dans le cercle des responsabilité. C'est mal barré. Spécialité Faisant plaisir à maman, à papa, ne sachant pourquoi ses pas l'ont mené ici-bas, il a choisi d'étudier avec modération le droit tant ennuyeux ne se voyant pas dans ce genre de métier. Ne se voyant dans rien plutôt. Club et/ou équipe WE ART là où s'expriment les pensées sur les beautés. Moyen de financement Papa et maman bien entendu, pour parfaire son éducation de jeune homme héritier, ayant abandonné ses courses folles à l'ivresse des paysages il dépense pour se venger : les études, les femmes, les boissons. Statut amoureux Coeur ballant, coeur souffrant, mutisme dans les peines de son abdomen. Elle l'a quitté il lui pardonnera jamais. Orientation sexuelle Il goûte à tout ce chenapan, des courbes fragiles des navires féminins aux cymbales des mâles viriles. Qualités Protecteur - Curieux - Doux - Poète (ici c'est un mode de vie) - Gentil - Fidèle - Courageux - Romantique. Défauts Turbulent - Je m'en foutiste - Tout le temps fatigué - Un peu trop calme - Renfermé - Timide - Perdu. |
Quel genre d'élève êtes-vous?A s'envoyer en l'air les jambes soulevées par les bureau des échaliers, à boire au carrefour des maudis quand l'envie le chante, à suivre ses envies, à sécher tout le temps, toujours car la vie est trop courte. A se faire punir comme un garçon au berceau, à désobéir par rire consternant ses professeurs, à être bon cependant dans ce qu'il entreprend mais ne fournissant d'effort pour faire bonne figure et garder l'argent de maman et papa bien que sans il s'adapte également. A écumer les flots de l'université en quête de pâles poupées qu'il voudrait adopter, le temps d'une nuit, de deux rencontres, de trois soupirs sous des les draps noircis par le plaisir. Que font vos parents?L'un est navigateur monté en grade depuis peu devenant capitaine obéissant à son patron, un chef d'entreprise de grande renommé. Il déplore sa conduite le fils de liberté, d'indépendance son père a préféré la gourmandise de l'argent. Mère épouse de l'art, sculptrice exposant aux plus grandes galeries du monde, réalisant des commandes publiques dans les hautes villes du globe, elle s'épanouit telle une rose à l'aurore, gagne des milliers sur son compte en banque pour ses oeuvres moqueuses. Pouvez-vous nous dire quelque chose sur votre famille?Non. Sa famille n'était pas le pseudonyme d'un papillon vert d'ocre, ce n'était pas ses frères, ses soeurs faisant la gloire des patriarches par leurs études, leurs métiers, leurs perversions à la recherche de l'argent à croire qu'ils n'avaient que ça dans leur vie. Lui c'était elle qui le tenait du bout de ses orbes pleureuses, de bout de ses lèvres gercées par ses désirs foudroyant, c'était l'essence de son âme, son Graal tentateur qu'il tenait tous les moments de ce passé si familier, sanglots arrachant sa gorge de tonnerre, sa rancœur fracassée. Racontez-nous une anecdote de votre vie.Solitaire, il écumait les bars de son quartier, connu pour son ébriété farfelu quand il décidait de mousser les nuits d'opale. Une orbe de malice, un fantôme lévitant sur le bord de l'autoroute où il passait habituellement pour rentrer chez lui par la fenêtre de sa chambre qu'il laissait ouverte. Elle portait une robe de dentelle blanche, sa chevelure de geai soufflant échos des morts, sa peau blanche comme le lait, un personnage sorti d'un conte nébuleux. Il voulu l'embrasser sur le crâne, sur ses joues roses transcendantes, manger ses lippes affectueuses bombées de pourpre pomme des séjours des morts. Elle partie rapidement, le vent l'emportant dans l'esquisse royal du monde souterrain. Parlez-nous de vos inspirations et de vos ambitions? Pour quoi vous levez-vous chaque matin? Qui désirez-vous devenir ? Il n'a rien, coquille vide qu'il traîne dans le monde charnel, néant affecté par la disparition de son âme morte, par sa liberté envolée dès qu'il a posé ses bagages dans un appartement fuyard d'une rue modèle. Non d'ambition que de plaire, de se porter au travers de ses parents à son dos ébréché. Il avait perçu ce que c'était d'être humain mais perdu à jamais par les hormones, les rires, ses démons de boissons et de drogue qu'il n'arrivait pas à jeter. Il aurait dû, pour elle, pour sa relation avec l'ange voleur de son coeur. Il aurait dû pour ne glisser dans le gouffre mordore sa gueule nauséabonde qu'il exècre, possédé pourtant par les brumes de son temps, une génération affaiblis par les orgueilleuses défaites de sa société. Poète à l'écart du monde, volage pour un peu de chaleur humaine, pour ne pas se perdre dans la folie. Survivre enfin à cette vie. Vous avez sûrement entendu parler de Virtus Vincit. Qu'en pensez-vous? Et jusqu'à où êtes-vous prêt à aller ?Jusqu'au bout du monde, pour oublier la solitude qui le ronge, pour oublier la femme ayant partager quelques brins de sa vie déchue aujourd'hui, pour oublier l'amour ressenti rien que le vide maintenant comblant son trou béant, pour l'amasser par l'adrénaline futile qu'il serait prêt à partager car il n'a rien à perdre d'autre que ce qu'il a perdu par sa connerie affligeante, par ses choix navrant. HORS JEU ~ INFORMATIONSprénom Rebecca pseudo Vagabonde. pays Le beau pays de France à la capitale Paris je flotte entre la campagne et l'urbanisme affriolant. où avez-vous connu le forum? Bazzart présence Partout. suggestions ou commentaires C'est beau, rien à dire, mes yeux sont éblouis type de personnage Inventé, toujours, tout le temps, mes bébés je les garde, je les aime. avatar Après Victor Norlender c'est Clément Chabernaud qui le remplace parce que je suis tombée d'amour pour sa gueule d'ange... et que Neal comme prénom lui va à ravoir vous trouvez pas ? groupe niveau 0 |
| | | Neal Delage STANFORD UNIVERSITY MEMBERPseudo : Vagabonde. Messages : 37 Avatar : Clement Chabernaud le plus beau © crédits : Nazack
| Sujet: Re: AUX ENFANTS BROUILLONS Mer 21 Mai - 9:50 | | NEAL DELAGE Et si quelquefois, sur les marches d'un palais, sur l'herbe verte d'un fossé, vous vous réveillez, l'ivresse déjà diminuée ou disparue, demandez au vent, à la vague, à l'étoile, à l'oiseau, à l'horloge; à tout ce qui fuit, à tout ce qui gémit, à tout ce qui roule, à tout ce qui chante, à tout ce qui parle, demandez quelle heure il est. Et le vent, la vague, l'étoile, l'oiseau, l'horloge, vous répondront, il est l'heure de s'enivrer ; pour ne pas être les esclaves martyrisés du temps, enivrez-vous, enivrez-vous sans cesse de vin, de poésie, de vertu, à votre guise. Aux enfants de l’amer. Aux enfants brouillon qu’ils laissèrent vagabond sur les routes infortunées des misères, lui, elle, les frères de cœur que chacun proclamait, sur les autoroutes désertes, à pied surtout dans des chaussures divulguées, dans des habits de tôle usé qu’ils portaient, fièrement sur leurs épaules délabrées. Le roman aux pages rapiécé par les années de servitude à ce gosse impertinent, les pages volaient au zéphyr fourvoyant dans le plaisir écho de la liberté des fous, ce dingue, dans sa caravane coloré qu’il traînait comme les chaînes amassées sur son existence fourbe qu’il aimait. Elle, toujours dans ses bras de chair vivante, sa peau contre la sienne et sa bouche collée à ses reins les nuits d’ébène où l’alcool flottait dans l’atmosphère ivre d’hallucination, il voyait les rubéoles des fidèles, des parents qu’il avait laissé derrière sur les rives d’un quartier éphémère où les enfants cavalaient comme des brebis égarés qu’il observait à sa fenêtre ternie de monotone agonie. Il était parti, de France en Belgique, il avait racolé telle une prostituée en fuite le pouce levé vers les cieux amoureux, avec elle, toujours, son désir au levant scotché vers ses seins abracadabrant, vers l’automne, vers l’hiver du nord de Norvège, à la Suisse pimpante des lippes peintes de chocolat titubant, des montres tintinnabulantes qu’il jetait fugitivement lorsqu’il reprenait la route dans des camions patibulaires. Il contemplait les paysages frivoles d’insanités, d’ordures, de passants que sa curiosité poussait à rencontrer, à placer des mots à la volée le bras haut perché au dehors de la vitre s’en foutant bien des autres sur les rues roulant, s’en fichant clairement des bourgeois rutilant tenant dans leurs paumes du vide au néant de leur vie printanière, leurs routines habituelles dont il crachait soudainement sur les caniveaux propres des villes lumières. Il ne pensait pas avoir fuie dans sa folie désillusions fragiles mais cette gamine aux cheveux pourpres quand il la tenait dans l’emprunt de sa force mélancolique qui lui avait dit qu’elle partait à l’horizon étoilé avec ses proches demeurant, il avait eu envie, lui aussi, sursautant de cette accalmie dans son cerveau embrumé par les clopes, le café, le saint sacrement, les croyances dont ses mordus l’accablaient matin, soir et aprem, il avait eu le souhait de plier bagage, dans ses visions rêveuse antiques, il avait, devant ses orbes écarlates, son baluchon de coton à son dos encore porteur d’espoir sur les destinées titanesques s’invitant à son giron de soie. Il suivait les lignes implacables des frappantes mélopées sonores, faisant front aux voyous qui le pourchassaient, quelques fois, dans leur pensées brouillées par les spiritueux névralgiques, il chantait hurlant au calme vivifiant au crépuscule des lendemains terribles tandis que les bonnes gens ensommeillées par leur caprice de marbre, leur barbante coutumes affligeantes les ayant assommés par le coup de gourdin bien caché. Liberté s’exclamait-il ivre de bonheur, un crachin de pluie sur ses joues pâles de riche gosse antique car ses parents avaient la monnaie toujours à leur doigt confiant des bagues, des bracelets, de l’or, des bijoux qu’ils donnaient sans compter à leur progéniture quémandeuses. Il avait demandé, plusieurs fois, c’était tellement facile de voir les billets s’affaler sur les tables de bois polis, c’était tellement simple de sortir de son portefeuille pour un verre de soda, de whisky, de vodka quand il voulait s’engouffrer dans les méandres serpentins de l’esprit énigmatique, de payer les visages angéliques tapinant dans les coupes gorge diaboliques qu’il prenait les soirs de brumes violées par les tourbillons de ses ressentis. Vide en son cœur qu’il sentait battre mais rien que du sang pulsant dans ses veines vermeilles qu’il tailladait pour se sentir vivre au bord de sa baignoire où l’eau turquoise brillait cristaux transparent miroitant la malédiction de son existence. Il la rencontra tremblant assise la tête entre ses bras famélique sur un caniveau ébloui par la saleté tentaculaire, son regard comme un accident de bagnole percuta l’amour dans ses yeux gris de tombeau malade, elle l’ange cadavérique qu’il soigna tout d’abord d’une veste sur ses épaules frêle, sa silhouette de fée tombée à l’univers maléfique, il sentit alors comme un électrochoc tout d’abord son organe en haut faire des prouesses magiques, des tornades entre ses côtes douloureusement appesanti pendant ces dernières années où il cherchait sa dépendance à l’arcane de son épopée. C’était elle, l’apparition une nuit noire de charbon où les étoiles dormaient profondément laissant les deux êtres s’adopter dans une chambre d’hotel miteuse rongée par les termites, les cafards, les bêtes en tout genre. Il se hissait de son coma dépressif par la présence auréolée de gloire de la fille à ses côtés la tête cachée par sa masse de cheveux fins, éplorés, blonds rayons de soleil éclatant. Il souhaitait voir son visage, le toucher par ses paumes, déceler les vertiges promesses qu’elle élaborait rien que par la sculpture de son matériel, ses seins gourmandise affriolante secrètement époux du tissus qui la gardait, ses yeux diamant il se fondit dans l’océan de ses agates invitation au voyage, son épiderme doux mielleux sur sa peau rêche l’apaisait, son âme poétique à la tendresse des mots dit à mi-voix il fallait pencher l’oreille pour saisir les volages phrases disparaissant à l’instant si l’écoute ne se prolongeait pas. Il vécut des éthylismes intenses accompagné par l’âme sœur de sa vie qu’il protégeait à l’ombre de son cœur, de tout ce qu’il possédait, ayant battu les gardes chiourmes, les maquereaux qui la jalousaient, la convoitaient, l’envoyaient à l’abattoir à vendre son physique pour des pièces d’argent qu’elle éprouvait à rendre dans les jambes des exploitant. Elle n’était jamais seule toujours seule ses sœurs hypocrites de labeur qui se battaient dans l’arène de luxure qu’elle haïssait elle, la fille populaire à son dégout pour des vieux croulant. Elle se fermait carapace fantaisiste qu’elle décorait un peu plus chaque jour de paillettes utopiques, d’un monde meilleur qu’elle imaginait protection de géant sur son édredon défait rempli de cheveux sale qu’elle partageait avec les autres guerrières qu’elle détestait. Il l’avait mené au soleil, en Grèce non en auto-stop car il souhaitait la préserver de tous ces malheurs déjà vécu. Elle avait la sagesse de Kant, de Socrate, de Descartes, dans ses prunelles mordorées par la décrépitude témoignée il lisait les souffrances qu’elle avait endurée et, dans sa chevauchée de fils à papa il déplorait les plaintes qu’il avait jeté dans les voilages de l’océan pollué. Allongés tous deux, passant des aurores, des aubes à parler au creux de l’oreiller dans une vaste chambre d’hôte tenu par des antiquaires exubérants, ils rêvaient leurs lèvre se mêlant, leurs désirs se joignant ne faisant qu’un tous les jours de l’été qu’ils outrepassèrent dans la paix, le paradis intermittent sur les îles colorées du sud. Ils sautaient des roches, des falaises ; ils se pavanaient s’amusant du malaise des autres. Ils étaient eux plein et entier, les autres rejetés par leur escapades adorés, leur bulle n’éclatant jamais par les parasites verdoyant. Le monde leur appartenait, ils ouvraient leur paume à la lueur des chandelles romantiques en déclamant des pièces de théâtre dont ils établissaient l’intelligence sur une scène fortuite construite de plume, de brocard, de toile de traversin, enfin ils s’écroulaient de rire se tenant le ventre de peur qu’il s’évanouisse par les fous rires envoutant. Ils allaient dans des bars de quartier, croisaient des vivants attablées à leur côté, commandant des poissons riches d’oméga dans leur intestin bedonnant, sa muse, elle, d’une voix légère « je voudrais une salade fraîche cueillie au bord des rivières où les poissons vivotent dans l’aile gracile des temps de blé », elle disait ça calmement rivée dans les mers tempétueuses des yeux du garçon tenant sa main comme à une bouée de sauvetage pour se sauver de la noyade, ses ongles plantés dans le parchemin soyeux de la déesse d’amour. Il se demandait ce qu’il avait fait pour trouver sa perle longuement chinée l’inconscience de l’instant cette quête néanmoins qu’il devinait dans marbres funestes avant. |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: AUX ENFANTS BROUILLONS Mer 21 Mai - 9:52 | | Bienvenue |
| | | Vi Cobb STANFORD UNIVERSITY MEMBERPseudo : aeroplane, alex. Messages : 117 Avatar : alexia. © crédits : aeroplane.
| Sujet: Re: AUX ENFANTS BROUILLONS Mer 21 Mai - 10:23 | | norlander est de plus en plus rare, et c'est bien dommage. très bon choix d'avatar. bienvenue. |
| | | Sora Neil STANFORD UNIVERSITY MEMBERPseudo : Chacapix Messages : 323 Avatar : Zoella Sugg © crédits : Stella Logement : Appartement 4 | Sujet: Re: AUX ENFANTS BROUILLONS Mer 21 Mai - 10:30 | | |
| | | Gabriel Epstein SUBLIME PRINCE OF THE ROYAL SECRETPseudo : isa/SNUFF. Messages : 755 Avatar : alex libby © crédits : ma Backflip d'amouuur. Logement : chambre H2, viens quand tu veux ! Sauf s'il y a un élastique sur la poignée, alors on est occupés. | Sujet: Re: AUX ENFANTS BROUILLONS Mer 21 Mai - 11:53 | | Je sens le beau personnage arriver. Victor est à toi pour cinq jours. Bienvenue parmi nous. |
| | | Alexa Morton SUBLIME PRINCESS OF THE ROYAL SECRETPseudo : backflip / elise Messages : 1188 Avatar : Cora Keegan © crédits : backflip Logement : Résidence Universitaire, chambre F1 | Sujet: Re: AUX ENFANTS BROUILLONS Mer 21 Mai - 12:00 | | BIENVENUEle début de la fiche a déjà l'air alors j'ai hâte de voir le reste. bon choix d'avatar au passage |
| | | Invité Invité | | | | Owen Kearney INTIMATE SECRETARYPseudo : INK PANTHERS™ Messages : 421 Avatar : felix bujo, le divin. © crédits : aeroplane. Logement : chambre H1 (ru). | | | | Vyx Kostolomova STANFORD UNIVERSITY MEMBERPseudo : CHLOE Messages : 160 Avatar : ZHENYA KATAVA © crédits : ©MISCHIEVOUSWINK Logement : LOGÉE PAR SON BEL AMI, ESPOIR
| Sujet: Re: AUX ENFANTS BROUILLONS Mer 21 Mai - 19:45 | | putain t'es beau toi. |
| | | Sage Kostas STANFORD UNIVERSITY MEMBERPseudo : Justin'& Messages : 255 Avatar : Giza Lagarce © crédits : Bombshell Logement : Chambre universitaire. | | | | Cassiopea Oxbury-Jones STANFORD UNIVERSITY MEMBERPseudo : BlueDiamonds Messages : 252 Avatar : La surprenante Kate Harrison © crédits : stoule Logement : En colocation avec Lael mon double ♥
| Sujet: Re: AUX ENFANTS BROUILLONS Jeu 22 Mai - 0:10 | | Je me doutais qu'on se retrouverait ici vu le genre de forum Encore un choix de vava énigmatique J'aime ce que tu vas faire du personnage (de ce que tu m'en as dis ) Bonne chance pour le reste de la rédaction et bienvenue ici |
| | | Neal Delage STANFORD UNIVERSITY MEMBERPseudo : Vagabonde. Messages : 37 Avatar : Clement Chabernaud le plus beau © crédits : Nazack
| Sujet: Re: AUX ENFANTS BROUILLONS Jeu 22 Mai - 15:23 | | Merci beaucoup à tous Vi : je ne connais pas du tout ton avatar, elle ressemble à une poupée exotique ! C'est vrai que Victor je le connaissais pas et je l'avais jamais vu sur un forum mais j'ai craqué pour Clement du coup. Gabriel : J'espère qu'il va te plaire en tout cas, je l'aime beaucoup mon Neal et j'ai pris, je prendrais encore beaucoup de plaisir à écrire sur lui Alexa : Merci comme dit plus haut j'espère qu'il va te plaire Et on se croise partout tout le temps (oui je suis vagabonde) cette fois je reste ! Vyx : Déjà j'adore ton pseudo et puis ton vava, Zhenia est ma chouchoute avec Antonina je ne peux qu'approuver ton choix d'avatar ! Cass : Ah bon ? Pourtant les forums université c'est pas trop mon truc mais bon, je sais pas Virtus me semblait comme une oasis de paix du coup j'ai succomber comme bonne joueuse. Comment ça un choix d'avatar énigmatique ? Il est beau Clément, il ressemble même à Hayden Christensen je trouve ! Ben du coup j'ai fini |
| | | Gabriel Epstein SUBLIME PRINCE OF THE ROYAL SECRETPseudo : isa/SNUFF. Messages : 755 Avatar : alex libby © crédits : ma Backflip d'amouuur. Logement : chambre H2, viens quand tu veux ! Sauf s'il y a un élastique sur la poignée, alors on est occupés. | Sujet: Re: AUX ENFANTS BROUILLONS Jeu 22 Mai - 15:35 | | VALIDATIONJe te valide, c'est très poétique tout ça. Tu es validé, évidemment. Juste une petite remarque cependant, ce serait top si tu pouvais nous donner son âge et sa date de naissance tout de même, peut-être entre parenthèses si tu veux garder le côté mystérieux. TU ES VALIDE(E) ⊰ Ca y est, ta fiche est terminée et tu peux rejoindre le jeu. Avant ça, voila le chemin à suivre : Après ça tu pourras créer ta FICHE DE LIENS et une fois que tu auras posté ton premier rp, tu pourras venir demander ta première mission. Bon jeu |
| | | Neal Delage STANFORD UNIVERSITY MEMBERPseudo : Vagabonde. Messages : 37 Avatar : Clement Chabernaud le plus beau © crédits : Nazack
| Sujet: Re: AUX ENFANTS BROUILLONS Jeu 22 Mai - 15:52 | | Je suis heureuse que ma fiche t'ai plu. En fait j'ai pas mis sa date de naissance parce que j'hésite encore sur la date XD je le mettrais tout ça dans mon profil ! |
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