Citation :

Pote de beuverie, mais avec une relation quand même solide. Dès qu'ils sont bourrés, ils se retrouvent (genre quand ils sont dans la même soirée) par je ne sais quel miracle et là c'est la débandade, conneries en tout genre, fausse crise de jalousie quand l'un embrasse quelqu'un d'autre, notation des personnes du plus canon au moins canon, faire des mélanges en tout genre, voler le sac de quelqu'un, surprendre des gens entrain de le faire en le faisant exprès .. Fin des vraies petites canailles, et puis un final torride de temps en temps.

Léa et Owen se connaissent depuis qu'ils sont tout petits. Ils se sont rencontrés quand Owen a emménagé à San Francisco, il avait alors huit ans à l'époque. Potentiellement, leurs parents étaient aussi devenus amis, peut-être voisins même. Quoi qu'il en soit, Owen a toujours apprécié la jeune fille, il avait tendance à la protéger. Il l'a connu presque dans le berceau (selon l'âge que vous lui donnerez), alors forcément, il s'en est toujours sentit très proche. Avec le temps, le relation a évolué. Ils se disaient tout, ils traînaient tous le temps ensemble. Mais Owen a changé aussi. Il est devenu mauvais avec les femmes, il draguait un peu à droite à gauche, et il s'en foutait. Potentiellement, Léa aurait pu être dégouté du garçon, de voir ce qu'il faisait aux filles et elle voulu lui montrer les bonnes choses à faire. Avec le temps, à force d'essayer, elle est tombée amoureuse de lui. Comme toutes les autres cruches de l'époque. Elle a essayé de lui faire comprendre à plusieurs reprises qu'elle voulait qu'il change, pour elle. Mais pourtant, il est parti. Il venait de finir le lycée et il intégrait alors l'école de Stanford. Il a donc quitté San Francisco et il n'a jamais redonné de nouvelles.

owen kearney a écrit:

« je ne suis pas un héros, léa » dit-il d'une voix frôlant l'ironie. elle savait très bien pourquoi il disait cela. le jeune garçon tient alors la main de la jeune fille. « mais tu es un homme bien, ça le sais. je te connais suffisamment pour le dire. je te connais bien owen. tu mérites beaucoup de chose, dont le bonheur. tu le sait déjà, mais je t'aime bien. je t'apprécie owen. vraiment. » il plonge son regard brun noisette dans le sien plus bleu et il se permet alors de s'y perdre quelques instants. il ne sait pas quoi lui dire. il le sait qu'elle l'aime, il l'a compris depuis longtemps. elle lui a laissé de précieux indices. et lui, il est juste là, devant elle, à ne pas savoir. il n'a jamais connu l'amour autre que celui que sa mère lui porte. il a toujours préféré garder ses distances, faire croire qu'il était amoureux, alors qu'il ne l'était jamais. il jouait au méchant, au bad boy comme on dit. « alors, tu me connais assez pour savoir que je ne suis pas le mec qui te rendra heureuse. » il dit ça avec une voix hésitante. il le sait, et elle le sait aussi. il est un peu triste quand même de la perdre ainsi. c'était son amie, une amie d'enfance. il la connaissait depuis si longtemps. mais il devait partir. il fallait qu'il s'éloigne d'elle, pour ne pas plus la faire souffrir. parce qu'elle est jolie, parce que bien sûre, elle lui plaisait, mais surtout, parce qu'elle comptait énormément pour lui.

Citation :

dans ses bons jours, wilma elle adore owen, elle le taquine, elle se colle à lui, elle prends plaisir à déverser son venin en sa compagnie, parfois elle le draguerait ouvertement même et puis il y a les autres jours où elle ne le supporte plus, où le simple son de sa voix l'agace  je la vois bien lui donner des surnoms débiles quand il l’énerve ou lui demander si "sa queue lui monte un peu trop aux cerveaux", mais dans le fond elle l'aime son owen quand bien même il lui arrive d'être jalouse ou possessive (ce qui montre bien qu'elle tient à lui, en temps normal elle l'aurait envoyé bouler à la première dispute).

Citation :

résumé

Citation :

résumé

Quibus ita sceleste patratis Paulus cruore perfusus reversusque ad principis castra multos coopertos paene catenis adduxit in squalorem deiectos atque maestitiam, quorum adventu intendebantur eculei uncosque parabat carnifex et tormenta. et ex is proscripti sunt plures actique in exilium alii, non nullos gladii consumpsere poenales. nec enim quisquam facile meminit sub Constantio, ubi susurro tenus haec movebantur, quemquam absolutum. Quibus ita sceleste patratis Paulus cruore perfusus reversusque ad principis castra multos coopertos paene catenis adduxit in squalorem deiectos atque maestitiam, quorum adventu intendebantur eculei uncosque parabat carnifex et tormenta. et ex is proscripti sunt plures actique in exilium alii, non nullos gladii consumpsere poenales. nec enim quisquam facile meminit sub Constantio, ubi susurro tenus haec movebantur, quemquam absolutum. Quibus ita sceleste patratis Paulus cruore perfusus reversusque ad principis castra multos coopertos paene catenis adduxit in squalorem deiectos atque maestitiam, quorum adventu intendebantur eculei uncosque parabat carnifex et tormenta. et ex is proscripti sunt plures actique in exilium alii, non nullos gladii consumpsere poenales. nec enim quisquam facile meminit sub Constantio, ubi susurro tenus haec movebantur, quemquam absolutum.

Quibus ita sceleste patratis Paulus cruore perfusus reversusque ad principis castra multos coopertos paene catenis adduxit in squalorem deiectos atque maestitiam, quorum adventu intendebantur eculei uncosque parabat carnifex et tormenta. et ex is proscripti sunt plures actique in exilium alii, non nullos gladii consumpsere poenales. nec enim quisquam facile meminit sub Constantio, ubi susurro tenus haec movebantur, quemquam absolutum. Quibus ita sceleste patratis Paulus cruore perfusus reversusque ad principis castra multos coopertos paene catenis adduxit in squalorem deiectos atque maestitiam, quorum adventu intendebantur eculei uncosque parabat carnifex et tormenta. et ex is proscripti sunt plures actique in exilium alii, non nullos gladii consumpsere poenales. nec enim quisquam facile meminit sub Constantio, ubi susurro tenus haec movebantur, quemquam absolutum. Quibus ita sceleste patratis Paulus cruore perfusus reversusque ad principis castra multos coopertos paene catenis adduxit in squalorem deiectos atque maestitiam, quorum adventu intendebantur eculei uncosque parabat carnifex et tormenta. et ex is proscripti sunt plures actique in exilium alii, non nullos gladii consumpsere poenales. nec enim quisquam facile meminit sub Constantio, ubi susurro tenus haec movebantur, quemquam absolutum.