Virtus Vinctis (Le courage vainc) aime cultiver le mystère. Qui sont-ils ? Quelle influence ont-ils réellement ? Vous avez très peu de détails. Ils semblent être partout, ils voient tout, rien ne leur échappe. Les preuves de l'existence de cette obédience remontent à la naissance même de l'université de Stanford. On murmure quelques noms de personnages illustres l'ayant intégrée tels que J.F. Kennedy, Herbert Hoover, Larry Page et Sergueï Brin : fondateurs de Google, ou encore Evan Spiegel : fondateur de Snapchat(...)
INFORMATIONS Votre pseudo doit contenir un prénom et un nom, aucune initiale n'est acceptée. Aucun nombre de ligne n'est demandé dans le jeu. Cependant, un bon niveau de français est exigé. Ne négligez surtout pas les annexes, elles sont importantes pour une bonne compréhension du jeu et de l'environnement dans lequel évolue votre personnage. Virtus Vincit a ouvert ses portes le 17/05/2014.
INDICES TEMPORELS Le jeu commence en AOUT 2014. C'est le début d'une nouvelle année. La rentrée des classes. LA METEO LOCALE L'après-midi, il fait entre 25° et 30°C. Le soleil est au rendez-vous, c'est encore l'été alors profitez-en !
Sujet: like it was always supposed to be like that (cassie) Sam 7 Juin - 20:35
I look to the skyline. And said how many falls until I fly. Look to the old times and said. How many roads until I find. And oh it's tough now. Cause love always, love always is unkind.
Week-end d'inté. Bien évidemment, c'est censé être bénévole mais t'as été obligé de te pointer. A contre coeur. Et ça se voit bien sur ton visage qu'être ici, c'est pas la joie. " Où tu vas ? On est censé rester là, je te signale." te souffle ton pote, en te voyant prendre ta veste. Tu hausses des épaules et tu tournes le visage vers lui, en prenant bien soin de prendre une clope. " Je vais fumer plus loin. C'est bon, je vais pas rester faire le poireau pendant dix ans non plus. " Tu n'attends pas plus longtemps et tu t'éclipses, le laissant là, seul avec son foutoir. Tu n'as pas besoin de son consentement pour faire ce que tu veux. Parce que tu es comme ça. Tu fais les choses que tu as envie, au moment où tu en as envie. Peu importe si ça plaît pas. D'un pas lent, tu vas vers l'étendue verte un peu plus loin. Là où il y a moins de foule. Là où l'air est moins toxique. Tu ne supportes pas le monde, la foule qui s'amasse à cet instant sur le campus. Alors, assis dans l'herbe, t'observe chaque nouvelle tête qui passe devant ton nez. Depuis le temps, tu as appris à mettre les gens dans les cases ou du moins, à faire la différence entre les gosses de riches et le sous peuple auquel tu fais partie. Alors, tu te rends bien compte que les choses ne sont pas près de changer à Stanford et encore moins pour toi. Tu es toujours aussi exaspéré de devoir supporter leurs têtes, d'être encore là pour une nouvelle année. Mais t'a promis et tu tiens toujours tes promesses. Tu l'auras ce putain d'examen. Oui, il te servira à rien, mais t'aura au moins réussi à faire quelque chose. Tu continues à observer la foule en tirant sur ta clope et tu effleures ta casquette du bout des doigts. Au loin, tu aperçois ton pote. Il te fait signe, mais tu ne lui rends pas vraiment. Apparemment, il peut pas se démerder sans toi. Putain de con. Tu devrais être avec lui pour accueillir les premières années et leur faire capter que l'équipe de water-polo a deux places de libres. Tu es resté dix minutes à faire la boniche et c'est déjà bien trop. Au fond, tu te fous de tout ça et de faire bonne figure. T'es pas franchement le mieux placé pour vendre les mérites de Stanford. Déjà en temps normal et encore plus à ce moment-là. Tu as l'esprit ailleurs. La tête tournée vers ta mère. Tu te sens coupable de l'avoir laissé là-bah. Toujours un peu plus à mesure que les jours passent. Tu sais que c'est pas de ta faute, que t'avais pas vraiment le choix, mais t'as jamais été séparé ainsi de ta mère, de la seule femme qui a toujours compté pour toi. Tu peux pas t'empêcher d'être angoissé. Tu soupires, tandis que tu pars, que tu t'enfonces un peu plus dans tes pensées. Tu te laisses tomber sur le sol et t'observes le ciel, pour échapper à ses démons qui viennent te happer. Ne plus y penser. T'es plutôt doué pour positiver d'habitude, mais pas là. Tu fermes un instant les yeux. Le souffle léger du vent caresse ta peau. Tu fais le vide et tu ouvres de nouveau les yeux sur le ciel. Un ciel qui prend la forme d'un visage connu. Ouais, là, maintenant, il y a une meuf qui t'observe et qui plonge ses yeux dans les tiens, sans retenue. Tu fronces des sourcils. Tu connais bien ce visage, ces traits si bien dessinés, si parfait. Princesse Cassiopea. Mais t'es pas franchement heureux de la voir, celle-là. Oh grand dieu que non. Elle revient encore à la charge, t'en es persuadé. Même si vous avez jamais vraiment pris contact, elle est toujours dans les parages à vouloir refaire ami-ami, sans même penser que toi, tu veux pas être ami avec elle. Et encore moins avec une fille de son espèce. Alors, tu te redresses sur tes coudes. " Tu m'caches du soleil. Dégage, merci. " Tu lui fais signe de déguerpir d'un geste de la main. Comme on chasserait une mouche, un peu trop collante. Tu veux être tranquille, mais non, il faut toujours qu'un insecte vienne te faire chier. T'es déjà saoulé rien qu'à l'imaginer te parler.
like it was always supposed to be like that (cassie)