Sulli et Luka ne semblent pas être là et tant mieux, être seul te fais parfois du bien, ça te permet de souffler, de te poser tranquillement mais surtout d'en profiter pour faire un brin de ménage dans l'appartement. Vivre avec des mecs c'est bien, mais niveau propreté c'est pas sa du tout. Tu devrais p'être penser à embaucher quelqu'un, mais l'appartement est dans un état tellement pitoyable que t'as presque honte. Vêtu d'un simple pantacourt, t'as donc entrepris de faire le ménage, au moins dans le salon. T'es p'être un peu maniaque finalement. Une fois le salon presque propre, tu décides de laver la vaisselle et de ranger les placards qui sont vides. Depuis que vous êtes arrivés dans l'appart vous n'êtes même pas allé faire les courses une seule fois et vous vous nourrissez exclusivement de pizza et de kébab. Et toi tu bois trop, beaucoup trop d'alcool. La sonnette de l'appartement te sort de ton ménage, t'essuie tes mains pleines de produit vaisselle et tu te diriges vers la porte, surement Luka qui a oublié ses clés, ce gros boulet. Sauf que quand t'ouvres la porte ce n'est pas sur ton bf que tu tombes, mais sur Sage. T'es surpris de la voir ici, surtout qu'elle ne t'as pas prévenu mais ce n'est pas quelque chose de mal, au contraire. Oh salut. Tu lui souris. De toute façon, tu n'avais rien prévu aujourd'hui, alors non, la brune ne te dérange pas. Tu peux plus te passer de moi, c'est ça ? Tu la taquines gentiment, puis d'un geste de la main, tu l'invites à entrer dans ton repère.

Il t’invite à rentrer en te taquinant, c’est comme ça entre vous, mais ça te plait. Tu lui lance un regard qui en dire beaucoup, puis réplique. « Ah mais attends jcrois que jme suis plantée d’appart en fait. Jsuis pas chez James là ? Puis t’es qui toi ? » Tu rigoles tandis que tu permettre un peu plus dans l’appartement du beau blond. « Mais bon maintenant que tu m’as gentiment à entrer chez toi, pourquoi pas ne pas squatter. » Tu te tournes vers lui, tandis que tes pas en marche arrière te guide jusqu’au salon. Tu peux d’ailleurs t’apercevoir de la non présence de ses colocataires, un bon point pour la suite événement. Tu prends place sur le sofa en attendant que Leho te rejoigne, finalement il t’a manqué le bougre. Il est vrai que votre rencontre n’es pas des plus communes, mais finalement internet à fait un sacré bon boulot, car les affinités elles sont bien présentes. Tandis que tu le regarde s’installer à tes côtés, tu en profite pour sortir une cigarette. « Ça te dérange si je.. » tu laisses ta phrase en suspens montrant simplement ton objet conique entre les doigts. Mais tu finis par prendre les devants comme tu le fait bien souvent, te plaçant sur le rebord de la fenêtre que tu as préalablement ouverte. Tu en profites pour admirer la vue des lumières de la ville. « Alors tes vacances ? » Et oui, tu commences à comprendre la raison de ce manque, presque deux mois que tu n’as pas vu sa personne, deux mois que tu n’as pas eu la chance de le taquiner sur sa ressemblance avec une poupée plastique Mattel, deux moins durant lesquels tu n’as pas pu le sentir à tes côtés. Tu ne connais pas l’amour mais tu ne multiplies pas les conquêtes lorsque tu partages déjà ton lit avec quelqu’un, pour l’instant l’alchimie est toujours présente. Un jour viendra où tu te lasseras comme tu le fais tout le temps mais celui-ci n’est pas encore arrivé et tu comptes bien en profiter jusqu’au bout.

Elle entre dans l'appartement et toi tu fermes la porte derrière elle. Tu pries pour qu'aucun de tes deux colocataires n'arrivent, t'as pas envie d'être dérangé. Tu rigoles doucement à sa remarque, comme si elle avait pu te confondre avec un autre mec. T'es unique en ton genre, y'en à pas deux comme toi. Oh t'as le droit de venir quand tu veux, c'est un peu ta deuxième maison ici. Tu lui souris tandis qu'elle prend place sur le sofa. Toi tu prends deux verres que tu met sur un plateau et tu sors une bouteille de jus de fruit, ainsi qu'une bouteille de vodka et tu poses le tout sur la table basse, devant le canapé avant de t'y asseoir. Sage s'allume une cigarette, tu grimaces un peu mais tu gardes tes réflexions pour toi. T'aime pas vraiment voir les gens fumer, mais d'un côté t'as pas grand chose à dire car toi tu ne fumes pas mais tu bois, beaucoup trop. Tu ne peux plus te passer de l'alcool et parfois il t'arrive d'en boire en pleine journée. Alcoolique, un peu. Tu te serres donc un verre, mélange de vodka et de jus de fruit avant de reposer tes yeux bleus sur Sage, la belle Sage. Tu n'aurais jamais penser rencontré une fille comme elle, surtout pas sur un site de rencontre. Normalement ce n'est pas ton genre de fréquenter ce genre de site mais ton inscription était la suite d'un défi stupide, et tout le monde le sait, tu ne peux refuser les défis qu'on te lance. La voir te fais du bien et tu ne comprends pas vraiment pourquoi. T'es pas du genre à t'attacher, tu prends les filles puis tu les jettes une fois que tu les as utilisées. Mais Sage tu la vois souvent, trop souvent peut-être. Et là ça fait presque deux mois que tu n'as eu quasiment aucune nouvelle d'elle, alors oui, t'es content de la voir, t'es content qu'elle soit venu sonner à ta porte. J'ai pas mal voyagé, en Amérique du Sud et en Europe. C'est bien d'avoir beaucoup d'argent, tu peux t'offrir tout ce que tu veux. Mais toi tu dépenses ton argent dans les voyages et dans les sports que tu pratiques, pas dans des choses inutiles que tu n'utiliseras pas et qui prendront la poussière dans ton appartement. Et toi ? T'es curieux de savoir ce qu'elle a fait de ses journées, t'es curieux de savoir si elle fréquente quelqu'un bien que tu penses que non, sinon elle ne serait certainement pas venue ici.

Il pose sur la table basse un plateau sur lequel se trouvent une bouteille de jus de fruit et une autre de vodka. Tu y jettes un simple coup d’œil avant de reposer ton regard dans la nuit du vieux Palo Alto. Les nuit sont douces et encore chaudes. Tu aimes cette époque de l’année : l’été, les journées y sont longues, ensoleillées et chaudes de quoi pouvoir passer d’excellents moments. Leho te répond il est clair que ses vacances ont été bien différentes des tiennes, tu imagines alors le jeune homme à des endroits plus paradisiaques les uns que les autres, et oui tu l’imagines fortement bien entouré, principalement de jolies filles. Bien que tu ne réserves ton corps qu’à lui, tu pressens qu’il ne fait pas la même chose de son côté. C’est humain, il est jeune, beau, riche et surtout vous n’êtes pas un couple juste des amis qui par moment s’amuse d’une manière différente des autres. Entre deux taffes sur ta cigarette tu réponds. « Je vois.. » puis reprends. « Les miennes n’ont rien eu de transcendantes, je suis simplement retournée à Seattle pour revoir la famille. » Tu finis par jeter ta cigarette par la fenêtre, tu fermes celle-ci pour retourner près du jeune homme. Assise à ses côtés, tu en profites pour te servir un verre, un fond de vodka lié d'un peu de jus de fruit. Tu portes la boisson à tes lèvres. « Et alors que s’est-il passé en Europe et Amérique du sud ? » Tu poses la question, dans le seul but d’assouvir ta curiosité. «  Nan parce que je suis certaine que notre Ken national, n’a pas pu ne pas se taper une ou deux barbies étrangères. » prononces-tu taquine tandis que tu reportes ton verre à tes lèvres.

Tes yeux parcourent son corps, sa peau. T'as envie de la caresser, de promener tes lèvres sur sa chair. Mais tu ne préfères pas encore lui sauter dessus, et puis vous ne vous êtes pas vu depuis longtemps, elle n'apprécierait peut-être pas la chose. Elle termine sa cigarette et te rejoint sur le canapé tandis que toi tu finis ton verre, déjà. Il faut vraiment que tu penses à ralentir mais c'est plus fort que toi, dès que tu vois une bouteille d'alcool t'es obligé de l'ouvrir et de goûter ce délicieux liquide qui provoque l'ivresse. La prochaine fois j't'embarque dans mes valises. T'es sincère, t'as envie de lui faire découvrir le monde, de la regarder bronzer sur une plage du Brésil, de l'emmener voir la tour Eiffel, pourquoi pas. Puis elle change de ton, elle te taquine. Tu ne vas pas lui mentir, les filles sont belles au Brésil, très belles même. Mais tu préfères garder les détails de tes nuits torrides dans ta tête. Tu sais comment j'suis, je ne peux pas m'empêcher de goûter aux plaisirs de la chair. Tu rigoles doucement avant de plonger tes yeux océans dans les siens. J'ai aussi pensé à toi, un peu. T'es joueur et Sage va surement l'être aussi.

Leho se montre franc envers toi, enfin il te fait comprendre sans les détails qu’il a bel et bien succombé aux charmes des filles natives des pays où il s’est rendu. Cela ne te fait ni chaud, ni froid, la vérité est sortie et elle correspond parfaitement à celle à laquelle tu t’attendais donc aucune raison d’aller pleurer dans les chaumières. Assise à ces côtés, l’homme se montre plus tendre dans ses paroles, il te fait notamment part du fait qu’il a pensé à toi. Tu as évidemment pensé à lui, de nombreuses fois principalement lors d’instant où sa présence t’aurait été agréable, dans ces moments ou parfois tu manqué les bancs de Stanford. Mais contrairement à lui tu ne vas pas le lui avouer pourquoi faire ? Ces pensées que tu as eu, te sont personnels, tu n’as aucune envie de les lui partager, alors comme d’habitude tu réplique par une répartie. « C’est drôle parce que moi, pas un seul instant. » Tu rigoles, bruyamment, mais tu te rapproches un peu plus de lui. Le voir ainsi si proche de toi, te donne envie de le toucher, de détailler les moindres parcelles de son corps. Tu veux le sentir te faire tienne, une nouvelle fois. Il t’a véritablement manqué, tu réellement eu envie de son corps pendant c’est deux mois. Alors oui, aujourd’hui tu as fortement envie de les rattraper, de combler ce vide qu’il s’est créer entre vous. Donc tu vas te montrer joueuse, tu vas faire preuve de finesse pour le tenter, ou du moins essayer. Tu veux le faire craquer plutôt que l’inverse, tu veux qu’il cède à ses désirs et fasse le premier pas, alors tu ouvres la danse. « Jsuis tellement degoutée ! J’ai pas bronzé d’un poil à Seattle, regarde-ça » Une attitude fifille qui ne te ressemble pas du tout, mais l’intérêt est le suivant. T’allongeant légèrement sur le canapé, tu abaisse ton short, ainsi que ton sous vêtement pour montrer la démarcation que tu ne possèdes pas de bronzage.

Tu plisses les yeux à sa remarque, vilaine. T'es presque certain qu'elle n'ose pas avouer le contraire, que si, elle a pensé à toi, au moins un peu. Mais bon finalement ce n'est pas si important que ça, ce n'est pas ta copine et elle ne le sera surement jamais car pour le moment t'es pas prêt à t'engager dans une relation, il y a trop de tentations, trop de filles à draguer et ça c'est quelque chose que tu ne peux pas t'empêcher de faire. Tu prends une gorgée d'alcool, pendant un instant tu fixes le vide devant toi puis Sage reprend la parole et là ça devient beaucoup plus intéressant. Elle te fait remarquer qu'elle n'a pas du tout bronzer et pour te le prouver, elle prend ses aises en s'allongeant presque entièrement sur le canapé puis baisse son short. Effectivement il n'y a aucune marque de bronzage. Tes yeux passent de sa peau à ses yeux et tu te mords la lèvre inférieure. bah vas y, fais comme chez toi, mets-toi toute nue temps que t'y es ! Sage est joueuse, tu sais ce qu'elle veut faire, tu sais qu'elle veut te faire craquer. Mais elle n'aura pas ce plaisir non, c'est à elle de faire le premier pas. Ce petit jeu peut durer longtemps, très longtemps même alors tu te dis qu'il ne faut pas que tu craques le premier mais t'es pas certain de réussir à tenir un long moment. Tu poses ton verre vide sur la table basse avant de reporter ton regard sur la demoiselle. T'as envie de coller tes lèvres aux siennes, de passer tes mains sur son tee-shirt et de goûter chaque partie de son corps mais tu retiens cette foutue pulsion. Seattle, c'est tout ? C'est vrai que tout le monde n'a pas la chance de voyager autant que toi, mais t'es surpris de savoir qu'elle est restée dans la même ville pendant presque deux mois.

L’homme cache parfaitement son désir, il ne semble rien éprouver à te voir ainsi allongé, presque nue. Non la seule chose qu’il trouve à te rétorquer, c’est de faire comme chez moi et de te mettre nues. Tu rigoles, lui donnant un léger coup de pied, mais tu prends ses paroles au premier degré. Alors tandis que tu relevé pour te rasseoir, tu prononces… « Dans ce cas.. ». Il craquera le premier, il craque toujours le premier, mais si pour une fois il semble bien décidé à te résister mais après tout cela ne fait que rendre le jeu, un peu plus sympathique, alors par provocation à ses paroles, tu retires ton t-shirt pour le faire atterrir sur le sol, tu t’apprêtes à faire la même chose pour la partie inférieure de ton corps mais Leho semble bien plus intéressé par tes vacances. Tu coupes alors ton geste pour lui répondre. « Et oui, la famille rien que la famille.. » Une chose qui peut paraître abstraite pour le jeune homme, passé ses vacances en famille, mais pour toi il n’y a rien de plus reposant. Tu aimes leurs contacts, tu aimes te savoir auprès d’eux car cela te permet de redevenir une petite fille l’histoire de quelques jours et puis tu n’oublies pas qu’à Seattle tu retrouves tes amis les plus proches, ceux avec qui tu as grandi, avec qui tu as tout partagé, tes premières cuites, tes premières clopes et tes premiers dérapages, ils ont toujours été là pour toi et tu seras là pour eux. Mais pour le moment, tu ne souhaites pas réellement pensé à eux, tu souhaites finir ta soirée dans les bras de ton blond préféré, alors tu poursuis ton strip-tease improvisé en retirant ton pantalon, puis tu affiches une moue emplit de candeur. « Tu as dit que j’avais le droit non ? Tu le sais qu’il ne devrait plus tarder à te céder.

Tu deviens chaud comme la braise et encore plus quand Sage retire son tee-shirt pour le laisser tomber sur le sol. Tu la regardes, tes yeux se font un peu plus sombre, ton regard un peu plus dur. Quant à ton corps t'es pas vraiment certain de pouvoir le contrôler, t'es pas certain pouvoir de résister très longtemps. T'es sérieuse là ? Tu fais le choquer, mais au fond ça te plait que Sage ait l'audace de se déshabiller comme ça. On va bien voir qui craque en premier. Tu fais un peu le malin, ton sourire est malicieux, mais tu sais très bien que celui qui va faire le premier pas, c'est toi. Aucun homme normal pourrait se retenir face à une fille en train de se déshabiller et surtout pas toi. Tes yeux parcourent son corps tandis qu'elle enlève le bas en te regardant avec une moue que tu connais que trop bien. C'est surement pour cette raison que c'est une des seules filles que tu vois souvent, c'est l'une des seules filles qui est venue dans ton lit aussi souvent. Tu as déjà partagé beaucoup de nuits avec elle mais à chaque fois tu as l'impression que c'est une autre fille, à chaque fois tout est nouveau, rien n'est jamais pareil. C'est surement pour cette raison que c'est une des seules filles que tu vois souvent, c'est l'une des seules filles qui est venue dans ton lit aussi souvent. Et à chaque fois que tu penses mettre de la distance entre elle et toi, elle apparait comme par magie devant toi et ça se termine toujours de la même manière. Tu n'es pas vraiment attaché à elle, c'est vrai, des filles, tu en as à la pelle, mais au fond, tu sais qu'elle te manquerait, tu sais que jamais tu ne retrouveras la relation que tu entretiens avec elle. Car vous êtes aussi des amis, bien qu'un peu trop fusionnels. Ton visage n'est qu'à quelques centimètres du siens, tu la regardes, droit dans les yeux. Et maintenant ? Tu souris, taquin.

Le jeu est clairement mis en place. L’homme ne souhaite pas craquer le premier et il te le fait parfaitement comprendre, tu mordilles ta lèvre inférieure cela t’émoustille un peu plus. Tu as toujours aimé cela qu’on te résiste, qu’un homme montre sa vraie nature, tu as toujours préféré les hommes forts et virils qui sachent pertinemment ce qu’ils veulent dans la vie. Voilà une des raisons pour lesquels tu aimes tellement la présence de Leho à tes côtés, voilà aussi pourquoi tu apprécies tellement vos ébats, pourquoi tu ne souhaites pas encore le laisser partir. Tu n’avais jamais gouté à autant de plaisir avec aucun autre homme alors forcément tu aimes le tenter, tu aimes le voir se retenir de te sauter dessus et tu t’en amuse d’une manière différente à chaque fois. Tu n’es pas jalouse de ses autres conquêtes parce que contrairement à elles, tu sais faire la différence, tu sais attiser une nouvelle fois le désir et tu découvres une nouvelle facette de l’homme à chaque fois. Le visage de Leho vient se placer à seulement quelques centimètres voire millimètres du tiens, tu souris d’un sourire franc, tandis que tu susurres doucement. « Je ne craquerai pas Hartley.. ». Tu rapproches un peu plus ton visage, tes lèvres effleurent presque les siennes, tu peux d’ailleurs son souffle sur ton visage, il en a envie autant que toi, mais tu es une compétitrice et comme tel tu ne supportes pas vraiment la défaite. « Admet ta défaite… » prononces-tu à voix basse, en plongeant ton regard sombre dans le sien beaucoup plus clair.

Tu ne vas pas tarder à devenir fou à tel point que tu ne contrôleras plus rien, même pas ce que tu fais, ni ce que tu dis. Sage est sagement calée sous toi et elle te titille en effleurant tes lèvres avec les siennes. Pendant un instant, tu fermes les yeux, ta respiration s'accélère tandis que tu sens ton cœur battre un peu trop fort. Et lorsque ton regard se replonge dans celui de Sage, on peut y voir la tempête qui se déchaine en toi. Doucement, ton visage se plonge dans son cou, puis tes lèvres remontent vers son oreille et tu lui murmures, doucement. Jamais. Tes lèvres effleurent sa mâchoire, puis sa bouche et tu te redresses, mettant un peu de distances entre vous deux. Tu sais que tu ne tiendras plus très longtemps et Sage doit aussi le savoir vu comment elle se joue de toi. Tu passes ta langue sur tes lèvres puis tu retires ton tee-shirt, dévoilant ton torse parfaitement sculpté, digne d'un dieu grec.

Le moindre de ses contacts te fait frissonner, tu n’en peux plus, tu le veux tout entier. Le souffle te ses paroles contre ton oreille, te faire sourire. L’homme est tenace, vraiment trop. Mais tu n’as pas encore dit ton dernier mot, tout comme lui d’ailleurs. Il retire son t-shirt te laissant libre d’admirer, son torse parfaitement dessiné. Il est toujours aussi magnifique, le hale qu’il a gagné durant ses vacances le rende encore plus parfait. Tu passes ta main dessus, dessinant le moindre de ses carrés, ton geste est doux, tendre. « Toujours aussi beau. » prononces-tu sincèrement. Mais comme dit plus tôt tu ne t’avoue pas vaincu, passant tes jambes autour de son bassin, tu te relèves venant coller ta poitrine contre son la sienne. Tes bras sont autour de son cou, pour te maintenir au plus près de lui, tu finis cependant par retirer l’un deux pour venir dégrafer d’une main experte ton soutien-gorge, duquel tu retires une bretelle puis la seconde, jusqu’à faire tomber à terre ton bout de tissu. « Tu vas perdre Hartley.. »

Ton souffle se fait de plus en plus rapide lorsqu'elle caresse ton torse. Tu frissonnes sous ce contact et là t'es certain de craquer, tu ne peux pas te retenir plus longtemps. Elle se redresse pour se coller contre toi et elle tombe son soutien-gorge. Toi tu la regardes, t'as plus envie de jouer soudainement, t'as juste envie de l'entendre crier, de la faire crier et de sentir son corps défaillir entre tes mains expertes. Aller, jte laisse gagner, pour une fois. Tu glisses une de tes mains dans son dos pour la serrer encore plus contre toi et tu viens capturer ses lèvres entre tes dents puis tu l'embrasses, ne retenant plus ta fougue. T'as l'impression qu'un volcan vient d'entrer en éruption dans ton corps. Tes lèvres glissent dans son cou, puis elles remontent vers son oreille. Tu m'avais manqué. Elle t'as manqué, son corps t'as manqué et il te tarde de l'explorer à nouveau, de parcourir chaque parcelles de sa peau avec tes lèvres. T'es pas certain de vouloir faire ça sur le canapé, alors sans prévenir, tu soulèves Sage dans tes bras et tu pars en direction de ta chambre. Tu laisses tomber la demoiselle sur ton lit, un sourire coquin aux lèvres tandis que tu déboutonnes ton pantacourt.

Tu as gagné, il a craqué et oui tu te sens fière de l’avoir fait céder. D’ailleurs le petit pour une fois qu’il rajoute te fait rigoler, comme si habituellement il était celui qui remporté le match alors que toi comme lui sait que non. Mais tu ne cherches pas la petite bête, tu as gagné c’est tout ce qui compte alors tu te laisses à présent faire. Tu te laisses te faire sienne, lorsqu’il t’embrasse tu réponds avec la même à ses lèvres, sa langue. Tu es bien et tu sens ton désir qui s’accentue à chacune de ses caresses, tu frissonnes lorsqu’il te susurre de doux mots à l’oreille, doux mots auxquelles tu réponds.. « Tu m’as manqué aussi… ». Tu te sert un peu plus contre lui, tu es bien à ses côtés. Leho te soulève soudainement pour t’emmener dans sa chambre, durant ce court voyage tu en profites pour déposer de nombreux baiser dans son cou, sur ses lèvres. Il te dépose doucement sur son lit tandis qu’il te lance un regard plein de sous-entendus, tu souris en mordillant ta lèvre inférieure. Leho commence à se débattre avec les boutons de son pantacourt, tu te rapproches de lui, tirant sur son fameux pantacourt pour le faire tomber sur toi. « Laisse-moi faire… » susurres-tu doucement. D’une main experte, tu portes à terre le pantacourt du jeune homme, tu peux alors sentir le désir du jeune homme. « Leho… » Ta main vient alors se glisser au niveau de ce plaisir et tu commences à t'en occuper doucement.

La température monte d'un seul coup. Tigresse, elle se rapproche de toi et s'occupe de te retirer le seul vêtement qui cache ta virilité. Virilité qu'elle s'empresse de prendre en main, ce qui t'arrache un gémissement. Et là tu te demandes comment tu as fait pour tenir deux mois sans la voir, sans la toucher et en ne lui parlant presque pas. Certes il y avait les autres filles, mais elles n'étaient pas comme Sage, aucune autre de tes conquêtes est comme elle. Tu frissonnes sous ses caresses puis tu plonges tes lèvres dans son cou. Tu mordilles un peu sa peau puis tu l'embrasses, encore et encore tandis que tes mains se déplacent sur son corps. Tes doigts s'agrippent au seul bout de tissus qui couvre encore le corps de Sage et d'un coup sec tu lui arraches, t'espères que ce n'était pas sa culotte préférée, aha. Tu la pousses, de façon à ce qu'elle se retrouve sur le lit et tu la domines, te mettant au-dessus d'elle. Tes lèvres parcourent son cou puis descendent tout droit en direction de sa poitrine que tu t'amuses à titiller du bout des dents. L'une de tes mains se promène sur ses jambes. Elle t'avait manqué, vraiment.

Tu frisonnes, tu ne peux pas t’en empêcher. Son souffle chaud sur ta nuque t’avaient manqué, ses caresses sur ton corps nue t’avaient-elles aussi manqué tout comme ses baisers remplit de tendresse. Alors oui, tu appréciais ces retrouvailles qui promettaient d’être très rapproché. A cet instant précis, tu es heureuse, il te rend heureuse et tu as envie de le lui montrer voilà pourquoi tu t’appliques à lui provoquer du plaisir, tes mains sur sa virilité le fond pour toi dans un mouvement doux et assuré. Tu peux alors sentir l’homme se faire plus dominant, il te pousse t’allongeant une nouvelle fois sur le lit. Il te veut, à tel point qu’il en arrache ton dernier morceau de tissu. A présent sur toi, Leho se plait à jouer avec ton corps, venant titiller ta poitrine nue, geste pour lequel tu ne peux retenir un gémissement, l’une de tes mains vient d’ailleurs se glisser dans ses cheveux, tandis que tu peux sentir l’une des siennes caresser tes jambes. Tu peux d’ailleurs sentir que l’homme poursuit sa course jusqu’à ton point de plaisir, ses gestes y sont tendres, doux, professionnels. Tu ne peux t’empêcher de gémir, oubliant toute raison, ainsi tu es bien et souhaiterai faire durer ce moment.

À cet instant plus rien ne compte, il n'y a que toi et elle, elle et toi. Tes lèvres déposent des baisers sur ses côtes, son ventre, jusqu'à descendre encore plus bas. Tout ce fait en douceur, tu prends ton temps pour goûter chaque parcelle de sa peau sucrée. Tu sens ses doigts s'emmêlaient dans tes cheveux, tu sens ses muscles qui se contractent, tu l'entends gémir et ça t'excite encore plus. Tout aussi doucement, tu remontes jusqu'à ses lèvres que tu captures entre les tiennes. Tu pourrais faire ça pendant des heures entières, mais souvent t'es trop pressé, tu ne prends pas le temps d'apprécier. Sauf avec Sage, tout est différent avec elle mais t'es pas certain qu'elle s'en rende compte, t'es pas certain qu'elle sache qu'avec elle tu n'es pas vraiment le même. Docile, elle ne dit rien, profitant de tes gestes experts pendant un temps. Mais t'en décides autrement, et une fois que tes lèvres ont parcouru presque tout son corps tu bascules, de façon à ce que Sage se retrouve sur toi. Pendant quelques secondes, tu la regardes avec des yeux brûlants de désir. À présent, c'est a elle de s'occuper de toi, à elle de te prouver qu'elle ne t'as pas manqué pour rien.

Tu crois défaillir, tu ne peux déjà presque plus, il sait exactement où se concentrer pour te faire plaisir. Il lit en toi comme un dans un livre ouvert, c’est pour ça qu’avec lui tout est différent. Tu n’avais jamais connu pareil plaisir avec d’autres, il est le seul avec qui te prends réellement ton pied, voilà pourquoi il est différent de tes précédentes conquêtes. Tu aimes ce qu’il te fait, il prend son temps, il se montre tendre et délicat, un acte rare mais qui te fait apprécier d’autant plus ce moment, tes gémissements lui font d’ailleurs aisément comprendre. Mais il décide d’inverser les rôles, tu te retrouves alors au-dessus de lui maitresse de son corps, tu mordilles ta lèvre inférieure signe de ton plaisir. Tu viens alors t’allonger sur son corps nu venant faire ses lèvres tienne l’espace de quelque instant pour ensuite venir déposer sur son torse nu de multiples baisers, puis tu descends, descends et descends toujours pour rejoindre son attrait de virilité. Tu commences alors à déposer tes baisers sur ce dernier, puis ton geste devient plus intime puisque tu entames une douce fellation, ton geste se fait expert, suave. Tu veux lui faire comprendre à quoi tel point les choses entres vous n’ont rien d’une simple partie de jambe en l’air, cela fait un moment que tu expérimentes le sexe sans sentiments mais jusqu’à présent tu n’en avais pas compris toute les subtilités, il a fallu qu’il rentre dans ta vie, pour te faire gouter à une autre facette de l’amour au lit. Il est différents, tellement différents et vu que tu n’es pas très doué avec l’expression de tes pensées, tu veux lui faire comprendre à travers tes gestes de plaisir. Alors, tu rends cette fellation un peu plus habile, un peu plus sensuel, tu joues de ta langue, de vitesse ou encore de profondeur pour le faire tressaillir, tu prends ton temps pour le faire succomber. Mais tu finis par te retirer, pour remonter vers ses lèvres que tu embrasses une nouvelle fois, tandis que tu viens te faire un peu plus sienne en lâchant un gémissement de plaisir. Ton bassin se met comme par automatisme à bouger, tes mains prenantes appuis sur son torse et tes yeux remplit de désir ne lâchant pas les siens.

Voilà, tu préfères ça, qu'elle prenne les commandes, qu'elle te montre de quoi elle est capable. Alors tu te détends totalement, des frissons te parcourent entièrement, ton désir est au plus haut tandis qu'elle vient se coller contre ton corps. Ses lèvres sur ta peau sont comme des décharges électriques, chaque contact te fait frémir. Puis elle descend, toujours plus bas, jusque là. Tu gémis lorsqu'elle prend ta virilité en bouche. Tout est si différent, il y a vraiment des fois où tu veux mettre de la distance entre elle et toi, où tu veux couper tous contacts parce que t'as peur de t'attacher, t'as peur de ne vouloir plus qu'elle dans ton lit et c'est quelque chose qui est juste inconcevable pour toi. Il t'en faut toujours plus, toujours plus d'argent, toujours plus de filles, toujours plus de potes. En réalité, tu vis dans l'excès bien que tu ne le montres pas forcément. T'essayes de profiter un maximum de ta jeunesse, mais, parfois, tu te demandes si c'est la bonne manière de vivre. C'est vrai, y'a pas de mode d'emploi pour ce genre de truc, parfois c'est simple, parfois c'est difficile alors tu pars dans tous les sens, tu fais n'importe quoi, comme maintenant. Peut-être que c'est une grosse bêtise de coucher encore une fois avec Sage, peut-être qu'à force tu vas lui donner des morceaux de ton cœur sans vraiment le savoir. Sage continue de te titiller, tu sens sa langue parcourir ta virilité, tu fermes les yeux. T'as pas envie de tout lâcher, tu ne veux pas que ça se termine maintenant. Et heureusement la brune se redresse et vient t'embrasser, toi tu lui mords doucement la lèvre tandis qu'elle se déhanche sur toi. Tu glisses une de tes mains derrière sa nuque pour l'attirer un peu plus contre ton visage et tu savoures ce moment, t'en profites comme si c'était le dernier.

Ce moment n’est vraiment rien qu’à vous et rien ne peut venir le perturber. Ton corps dans le sien et tous les mauvais moments de ta journée sont comme éclipsé. Tu n’arrives à penser à rien d’autre, qu’à son plaisir et le tien. Alors ainsi agencé, toi sur lui, tu prends un malin plaisir à te déhancher doucement, langoureusement, vos précédents échanges rapproché avait laissé place à des corps à corps plutôt sauvage, intense et rapide, ce soir tu veux tester autre chose. Tu veux l’emmener au septième ciel, d’une façon complètement différente, alors tu te laisses aller à des gestes beaucoup plus délicats, à des baisers ou autres caresses. Tout semble si différent, tu te découvres une nouvelle facette, toi qui es d’ordinaire si froide, si fragile quand il s’agit de montrer tes sentiments, tu te révèles lors de tes ébats avec lui, tu ne sais pas véritablement pourquoi, mais cela commence à t’effrayer légèrement. Tu sais que l’amour n’a rien à voir la dedans, il te plait certes, mais pas comme ça, pas de cette manière. Un ami, un simple ami avec qui tu passes d’excellents moments principalement lorsque vous vous retrouvez nus, mais il ne pourra être rien de plus, mais pourtant tu le sais qu’une telle complicité pourrait faire naitre quelconque sentiments de son côté. Tu espères simplement que ce moment ne viendra jamais, car cela signifierait la fin de tout. Mais pour l’instant, tu ne penses pas à tout cela, surtout pas quand tu sens l’une des mains de ton amant, passer sur ta nuque pour t’attirer vers son visage. Face à face, ton regard se plante une nouvelle dans le sien tandis qu’entre deux gémissements, tu viens lui susurrer tout bas.. « Ça m’avait tellement manqué… » Tu accélères un peu plus ton déhancher, ta poitrine vient alors se coller contre la sienne.

Tu l'embrasses encore et encore, tu ne peux résister à l'appel de ses lèvres si parfaites. Ton regard exprime parfaitement ce que tu penses, toi aussi ça t'avait manqué, son corps, ses gestes, elle tout simplement. T'essayes de te persuader qu'elle ne compte pas pour toi, qu'elle est comme toutes ses filles que tu ramènes, sauf qu'elle tu la vois un peu plus souvent. Mais au fond tu sais que c'est faux, tu sais que tu ressens tout le contraire à son égard, tu sais que plus les jours passent et plus tu t'attaches. Et le fait qu'elle soit aussi à Stanford n'arrange pas les choses, au contraire. Et là, sans prévenir, tu renverses Sage et tu te retrouves au-dessus d'elle, un sourire aux lèvres. Tes deux mains sont posées de chaque côté de son visage et tu l'embrasses tout en la pénétrant, un peu trop brusquement peut-être, mais y'en a assez des gestes doux, tu laisses sortir ta fougue, tu redeviens le vrai Leho, celui qui ne fait pas l'amour mais qui prend ça pour un sport, qui fais ça pour son propre plaisir. Tes coups de reins s'accélèrent, t'as bien l'intention d'emmener Sage au septième ciel, et toi aussi par la même occasion. Tes lèvres se posent dans le cou de la demoiselle, tu mordilles sa peau et tu l'embrasses.

La douceur que tu avais mis en place s’estompes bien vite lorsque Leho reprends les reines, ses gestes se font plus brutal, plus rapide. Il ne prend pas réellement de gants, il redevient celui que tu as toujours connu mais sans que cela ne te gènes vraiment, tu aimes autant cette façon de concevoir le sexe que celle que tu appliqués plus tôt. Alors tu te laisses un peu plus aller, tu le laisses te dominer complétement, te fait sienne à chacun de ses coups de bassin, à chacun de tes baisers sur ta peau. Tu ne tiens plus, tu sens ton corps d’échapper, ta voix se faire plus présente, puis tu te raidis d’un seul coup, venant resserrer tes jambes autour de son bassin. Tu laisses échapper ton plaisir, tu viens d’atteindre les portes du paradis, Leho essoufflé vient s’écrouler sur toi. Tu rigoles, tandis que tu viens caresser son dos. « La nouvelle année commence sous de bons hospices. » Tu as profité de ce moment à ses côtés mais tu ne sais pas encore quand tu auras l’occasion de le revoir, les cours reprennent bientôt et tu n’auras donc plus vraiment la tête à autre choses, les cours avant le reste. Tu ne peux pas te permettre l’échec jamais alors tu vas tout mettre toute distraction de côté pour te concentrer sur ton seule objectif, obtenir une nouvelle fois ton année en étant major de ta promotion. Tu veux rendre tes parents fières, te rendre fière et montrer ce que dont tu es capable. Alors bien que tu apprécies ces instants de plaisir partagé avec le jeune homme, la prochaine fois tu ne surement pas celle frappant à sa porte.

Le moindre de tes muscles se tend et après un dernier vas et vient tu t'écroules sur Sage en poussant un gémissement. Tu embrasses une dernière fois sa peau si douce tandis qu'elle, elle rigole. Tu te laisses tomber à ses côtés et tu te redresses en t'appuyant sur tes coudes. Pourquoi tu rigoles ? Tu plisses les yeux, c'est vexant. Mais tu la pardonnes assez rapidement parce que de toute façon t'es incapable de la bouder, et même pour rigoler. J'espère que t'as prévu une autre culotte. Pendant un instant, tes yeux se posent sur le morceau de tissu déchiré qui est au sol, parfois tu ne peux contenir tes pulsions et c'est souvent que les filles rentrent chez elle avec leur tee-shirt un peu déchiré. Ton regard se pose sur Sage, puis au dehors, il fait nuit noire, en faite t'as aucune idée de quelle heure il est. Tu veux qu'on aille prendre un verre quelque part ? Bientôt, les cours vont reprendre alors autant profiter de tes dernières soirées pour terminer complétement ivre dans les rues de Palo Alto. Tu te lèves et t'enfiles un caleçon propre avant de t'étirer le dos. Tu te demandes où sont passés tes colocataires, ils n'auraient pas osé partir en soirée sans toi. Tu te rassois sur le bord du lit, en attendant que Sage daigne te répondre. Peut-être qu'elle préfère rester ici pour dormir, mais toi t'as qu'une envie c'est d'aller profiter de la nuit.

Tu ne réponds pas à ses interrogations, du moins pas à la première. Tu fatigué, tu te sens d’ailleurs partir, mais tu reprends conscience lorsque le corps d’apollon de ton amant se relève pour se revêtir d’un caleçon. Il attend ta réponse en venant s’asseoir sur le rebord de son lit. Tu en profites alors pour venir coller ta poitrine nue contre son torse lui aussi vierge de toute parure. « Comment sortir alors que je n’ai pas même plus de sous-vêtement.. » Tu le taquine gentiment mais en vérité tu n’as vraiment le gout de sortir, tu es encore fatigué de ton déménagement fait plus dans la journée alors tu n’as pas le courage de sortir jusqu’à pas d’heure pour te prendre une cuite. Alors entre deux baisers posés sur sa nuque et son dos, tu te relèves partant à la recherche de tes vêtements précédemment disparus. En les retrouvant et en les enfilant, tu dis. « Désolé tu devras aller te bourrer tout seul » Tu te tournes vers lui, sourire en coin puis tu poursuis. « D’ailleurs tu pourras retrouver tes colocataires dans un bar de la ville, j’avais prévenu Luka de ma venue au sein de votre garçonnière, jvois que pour une fois il a su quoi faire.. » Tu rigoles puis enfile ton jean sans prendre la précaution de revêtir un sous-vêtement en dessous. Tu avais un peu tout prévu depuis le début, mais tu ne souhaitais pas vraiment que l’un de ses deux idiots de colocataire cache vos retrouvailles alors tu avais pris les devants et maintenant que tout s’est exactement déroulé comme tu l’avais entendu tu peux t’éclipser. Tu rejoints la porte d’entrée Leho t’accompagne, sur le pas de cette dernière, tu l’embrasses une dernière fois. « On se revoit bientôt ? »